Voila, j'ai créé un personnage, le démons Hurleur. il vit sur la planète 683.
les héros qui y vivent sont les même que ceux de marvel (mon avatar représente le Spiderman de cet univers) ... (j'en suis fier, il a une bonne gueule ).
vu que dans les deux premiers chapitres, j'ai fait un affront à l'un des personnages fétiche de SteF et qu'il a décidé de bientot se venger. je me suis dit que se serais simpas que vous compreniez un peu mieux.
Je préviens tout de suite, je me suis pas trop foulé. cette histoire à d'abord été écrite pour passer le temps ( et puis qui sait, si le perso plait aux boss!)
Bon allez je vous laisse lire!Chapitre1 : Hurlements
Detroit
- Ecoute ! De nos jours les héros font parti de notre quotidien ! S’ils n'étaient pas la, qu'est-ce qui nous protégerait ? Les flics ? Ce sont des hommes comme les autres. Alors que les super héros, ils sont super. Tu sais, je connais spider man. J'ai même joué au poker avec Luke Cage. D'ailleurs mon père était un héros lui aussi… ok, personne n'a eu le temps de le connaître. C'était le très grand Jardiner. Il faisait pousser les plantes grâce à des graines dont l'ADN était modifié… Il est mort lors de sa promiére mission en tentant d'arrêter le mutant Pyro… Ouais, tu sais ce type qui contrôle le feu. Mon père devait avoir oublie que les plantes aiment pas ça. Pyro lui a balançait une boule de flamme et mon idiot de père à voulut se protéger en créant des géra,ium tout autour de lui… à et puis je t'ai dit que je connaissais Spider Man, c'est mon cousin julien. Oh fait…
Les clients ne faisaient même plus attention à cet ivrogne qui parlait à sa voisine imaginaire depuis plus de 2 heures sans s'arrêter. Puis ces potes vinrent le chercher.
- Allez le frenchie. Amenes toi.
- Meuuh, je t'ai rien deumandé… en pluus je suis grave en train de conclure.
- Mais oui Loïc et après tu vas nous dire que tu es aussi agile qu'un singe!
- Mais voui! Farpaitement!
En disant ces mots, il se leva de son tabouret grimpa sur le bar en s'accrochant à une poutre en plâtre et se jeta dans le vide en hurlant comme un dément. La poutre cassa et Loïc chuta en se cognant la tête contre le bord du bar et perdit connaissance.
Quand il les réouvrit il était dans une chambre d'hôpital. Un médecin qui faisait le tour de ses patients le vit et alla à sa rencontre.
- Loïc Dumont, 17 ans, vivant à Détroit?… Je suis le docteur Niahps. Il y a un mois vous avez fait une chute qui aurait put s'avérer mortelle, nous avons fait tous notre possibles et il semble que vous n'ayez aucune séquelle. Si vous avez des questions?
Un mois, ça faisait un mois que… mais qu'est-ce qu'il avait fait au juste… il fallait qu'il demande. Loïc ouvrit la bouche pour parler, mais aucun son n'en sorti. Le docteur le regarda attentivement puis se rendit compte qu'il y avait un problème. Ils firent alors des tests supplémentaires. Il sembla alors que la partie de son cerveau pour parler avait était endommagée. A vrai dire ils se rendirent compte qu'elle s'était modifiée. De plus les cordes vocales du jeune homme semblaient atrophier. Les médecins lui annoncèrent qu'il ne pourrait plus jamais dire un mot. Le médecin ne put d'ailleurs s'empêcher de rigoler en le voyant hurler un "non" silencieux, mais il se prit une bonne droite.
Loïc resta de longues semaines totalement inconsolable. Il passait ses journées dans sa chambre à broyés du noir. Ce matin la, il sortit de sa douche et se regarda dans le miroir durant de longues heures. Puis il se dit soudain qu'il voulait être quelqu'un d’autre, être ailleurs. Il ouvrit alors la bouche pour essayait de sortir un son. Il émit un petit sifflement et se retrouva d'un coup en plein milieu du magasin de sous-vêtement féminin en face de chez lui, avec pour seul habit sa serviette de bain. Tout le monde se mit alors à rire en le voyant. Il se mit à rougir… Comment avait-il fait ça. Une gamine s'approcha alors de lui et tira sur sa serviette. Il se retrouva alors nu comme un vers devant les clientes hilares. Il voulut crier.
- Arrêtez!
Il aurait aimé crier cette phrase, à la place ce ne fut qu'un gémissement. Il n'eut d'ailleurs pas le temps de se réjouir. Car en disant ce mot, une chose inhabituelle se produisit. Tous les objets en verre de la pièce explosèrent, les verres des lunettes d'une cliente lui explosèrent au visage en lui crevant les yeux. Les animaux qui étaient dans la rue semblèrent devenir fous. La clientèle paniquée se mit à courir vers la sortie. Il pouvait reparler ! Il n’en revenait pas
Une vendeuse se tourna vers lui tandis qu'il arrachait les rideaux pour se vêtir avec.
- C’est toi, c'est toi! Le responsable!
Il regarda les dégâts et se mettant la main devant la bouche.
- Non, ce n’est pas moi!
- Qu'est-ce que tu dis? Parle plus fort!
Il ne s'était rien produit. Il enleva main et saisit un stylo pour écrire. Un liquide noir coula alors sur sa main. La réserve d'encre avait du implosé.
- C’est lui! Le responsable! Sécurité! Appelez la sécurité.
- Non, laissez moi! Hurla t'il
Sa voix émit une espèce de son sur aigus. Le bâtiment se mit alors à trembler et commença à s'écrouler. Il ferma les yeux attendant d’être enseveli, mais à la place il se retrouva dans la rue à environ 30 mètres du sol. Sa gorge émettait sans cesse un petit bruit qui semblait le maintenir en l’air. Il regarda en dessus de lui et eut le vertige en même temps que ce qu’il voyait lui fichait trouille. Ce n’était pas juste le magasin qui s’écrouler, mais toute une partie de la ville. Il ne voulait pas savoir le nombre de mort qu’il allait causer. Il posa la main devant sa bouche et dit
- Ho merde, c’est moi qui. ..
Puis il se rendit compte qu’il ne se passait rien comme tout à l’heure. Il comprit, sa peau bloquée son pouvoir.
- Tu admires tes exploits ? Tu as fait beaucoup de dégât ! Mais tu n’en auras plus l’occasion.
Loïc se retourna et n’en cru pas ses yeux. Steelman, son idole !
Avant qu’il n’ait pus réagir, son héro lui colla une droite en retenant son coup. Loïc fut propulser vers le sol et s’écraser dans les débris d’un immeuble. Il aurait dut être sonné ou pire, mais non. Il n’avait sentit que le coup de poing. En tombant au sol, il s’était vu entourer par une espèce d’énergie blanche après avoir émis un autre son. A vrai dire il ne savait pas ce qu’il faisait, il était totalement apeuré et il utilisait ses nouveaux pouvoirs à l’instinct.
Il eut à peine le temps de se relevait, qu’il vit Steelman lui fonçait dessus. Il ouvrit la bouche en lui demandant de l’aide. Le sol se remit à trembler et Steelman fut atteint par une espèce de force sonore. Il parvint à résister, mais la force s’intensifia en même temps que Loïc moduler sa voix.
Au début, toute une zone en forme de cône fut touchée. Mais les variations de sa voix resserrèrent le rayon et se rapprocha de plus en plus de l’ultrason. Les oreilles de Steelman souffraient en même tant que sa peau était martelée par des ondes sonores destructrices. Le rayon sembla alors se concentrer sur son poing. Et pour la première fois depuis des qu’il était un héros, James se mit à saigner. La peau qui recouvrait son poing se mit se désagréger, relevant ainsi sa chair. Puis la chair subissait le même sort. En quelque seconde, sa main fut détruite.
Steelman se tordit alors de douleur, tenant son moignon dans la main et hurlant tant qu’il pouvait. Voyant ce qu’il avait fait, le jeune homme se précipita vers sa victime pour voir comment il allait. Loïc se couvrit la bouche avec un foulard qui traîner par terre.
- Je suis désolé, je ne voulais pas. Je ne contrôle pas mon pouvoir.
En disant cela, il se rendit compte que le foulard n’était pas si efficace que sa peau, car le sol trembler. Il se pencha pour apporter des soins à son idole, quant il reçut un bouclier dans la tête. Captain America fit son entrée.
« Qu’est-ce quelle est jolie se dit-il »
Il tenta de se relever mais une flèche se planta dans le sol à quelques centimètres de sa tête.
- Ne bouge plus, tu es en état d’arrestation. Et je peux t’assurer que la prochaine fois Hawkeye ne va pas te rater.
La jeune femme s’approcha de lui pour lui mettre des menottes et un collier inhibiteur. Il l’a regarda faire tandis que la guêpe s’assurer que Steelman allait bien.