3 mois plus tôt,
Walter resta de longue minutes à regarder le visage de sa sœur. Elle paressait si calme, mais il savait qu’elle souffrait. Il s’était assis prés d’elle en silence et lui caressait le visage avec sa main droite tandis que sa main gauche serrait fermement le bout de métal qu’il avait récupéré prés de la carlingue.
En pensant à ce qu’il s’apprêtait à faire, il se mit à perdre le contrôle. Inconsciemment, il savait que c’était la seule chose sensée pour sauvée sa sœur mais il doutait. Comment le prendrait sa sœur, lui en voudrait-elle. Il leva sa lave et la plaça au dessus du genou d’Heather. L’acier était coupant, se serait du gâteau.
Au moment où il allait passait à l’acte, il ne pu s’empêcher de s'excuser. il commença à appuyer et le sang commencer déjà à colorer le bout de métal. Il vit le visage de sa sœur se contracté de douleur.
- Je suis désolé Heather! C'est la seule solution. Tu risque de mourir. Je t'aime!
- Aahh!
Ça ressembler plus à un râle d'approbation qu'à un cri de douleur. Il décida alors de lui attaché les poignés et son autre pied pour évité tout mouvement brusque… c'est d'ailleurs pour sa qu'il préféré travailler avec les morts. Ils ne pouvaient pas se plaindre. Il allait reprendre sa besogne quand une main se posa sur son épaule.
- Ne fait pas ça ! Walter ! tu le regretteras !
- Je n’ai pas le choix ! elle risque de mourir !
- Kevin à réussis à entrer en contact avec les secouriste canadiens. Il seront bientôt la !
- Wanda ! Regardes sa jambe ! elle est fichus ! et si sa continue, elle va en mourir !
- Les secours vont arriver chéri !
- Walter, mon frère… je …
Il regarda sa sœur et en un instants, il avait pris sa décision. Il saisit le bout de métal et leva le bras…
- Je n’ai pas le choix ! désolé ! désolé soeurette !
Le métal s’abattit avec force sur la cuisse de sa sœur. Les os se rompirent en un affreux craquement tandis que sa sœur hurlait et se plié de douleur. Ses liens commencés déjà à marquer ses autres membres. Walter s’y repris trois quatre fois tandis que sa femme le regardait avec dégoût.
- Salaud !
Kevin qui avait été alerté par les cris de la blessée, avait plongée sur son patron pour le désarmer. Il lui laissa à peine le temps de se relever et lei colla son poing dans la figure, le sonnant par la même occasion. Le meccano aurait pu s’arrêter la mais il continua à s’acharner sur le médecins. Wanda dû intervenir pour les séparer. Elle pû alors regarder la pièce. Une mare de sang couvrait la couette. Walter se releva, le visage tuméfier. Il était hors de lui.
- idiot ! je n’ai que quelque secondes pour faire le garrot, ou elle va se vider de son sang !
Il se précipita sur sa patiente, mais son sang lui brûlait les yeux et l’empêchait de bien voir. Sa sœur ne bougeait plus, sa poitrine n’était plus animée par ses mouvements saccadés qui était si habituels depuis le crash. Il prit son pouls. Sa peau devenait peu à peu aussi blanche que la neige.
Il retint ses larmes et toute la rage qu’il ressentait. Pendant de longues minutes il tenta de comprendre et de lire une quelconque réponse dans les yeux de sa sœur. Mais il n’y vit rien. Avec les dernières forces qu’il lui restaient, il lui ferma les paupières et lui baisa une dernière fois le front. Puis il la recouvrit d’une couverture. Il se leva et sortit calmement tandis que Kevin lui reprochait sa mort. Il saisit son journal et se mit à écrire tout en marchand.
« aujourd’hui, j’ai… »
- lâches ça ! comment tu peux écrire ton journal après ce que tu as fais !
Kevin donna un coup dans le bouquin qui tomba par terre. Walter se baissa pour attraper son journal. Mais Kevin le poussa violement. Et il tomba dans un trou qui était recouvert de neige.
Le médecin fit une chute de quelque centimètre et se retrouva dans une espèce de grotte. Il prit appui sur un des bord. Mais en faisant ça, il fit tomber une statuette qui se brisa. Une fumée en sortit alors et l’entoura avant de s’infiltrer en lui.
« Libre ! ouiiii ! Enfin ! Après touts ces siècles de captivité »
- Hein ? qui…
« je suis Tanaraq, dieu Inuit du massacre et de la torture et démon du huitième cercle du péché et de l’orgueil ! A partir de maintenant nous ne ferons qu’un. »
Tanaraq lui expliqua alors que si il voulait se libérer de son emprise il devait tué et dévoré les entrailles de jeunes âmes innocentes et qu’en échanges, il lui rendrait sa sœur. Walter accepta. Il n’avait pas tellement le choix. C’est alors que Kevin le rejoint et le démon lui ordonna de le tuer. Sans réfléchir, il laissa le contrôle de son corps à l’entité qui le contrôler. Lorsqu’il revint a la réalité, le meccano gisait par terre. Vidé de ses entrailles.
Puis il rentra. Bizarrement il ne ressentait plus le froid et il se sentait très fort. Arrivé à proximité du camps, Tanaraq repris le contrôle de son corps mais sans avoir eu son accords. Cette fois, le dieu lui laissa voir ce qu’il faisait. Il le vit casser la colonne vertébrale de Ron comme on déchire une feuille de papier. Et il le vit lui suçait la moelle osseuse comme si il s’était s’agit d’une friandise. Puis doucement il se dirigea vers le lit de sa femme en essuyant le sang qui recouvrer sa bouche.
Wanda le vit rentrer et le gronda pour se qu’il avait fait a ça sœur elle voulait le divorce dés qu’ils rentreraient. Tanaraq la regarda sans rien dire et en souriant. Elle allait le gifler quand il la prit dans ses bras pour l’embrasser. Et le dieu profita de cette fraction de seconde pour laisser Walter voir ce qu’il pensait lui faire.
« NON ! » hurla –t’il
Il vit leurs lèvres se rapprocher l’une de l’autre. Puis d’un geste rapide, il lui arracha la lèvre inférieur et la goba. Elle eut à peine le temps de sentir la douleur qu’il lui chopa la mâchoire inférieur et la les lui déboîta. Le démon se mit à la dévorer vivantes en commençant par le visage. Il prit un malin plaisir le faire petit à petit tout en la maintenant en vie le plus longtemps possible tout en la torturant, tandis que ses yeux luisaient d’une lueur jaunâtre.
Quand elle succomba à ses blessure, le dieu Inuit lui laissa reprendre le contrôle. Il regarda la carcasse de sa femme tout en se rendant compte qu’il avait encore le gout de ses yeux dans la bouche. Et le pire c’est qu’il aimait ça.
- Qu’est ce que tu as fait, tes dingues !
« je vais te faire un marché Walter ! »
- non, je ne veux rien qui ne vienne de toi ! tu es malade !
« Pourtant je te proposer de retrouver ta liberté ! »
- Quoi !
« ce que je viens de faire ne m’a pas amuser, c’était trop facile. Je vais te laisser récolter des âmes pour moi. Nous deviendrons plus fort comme ça. Peu importe comment, mais fais le ! je sais que malgré ta réaction, tu as aimé ce que tu as vu ! »
- non ! comment je…
« c’est dans ta nature, Sasquatch ! Même si tu tentes de résister tu y céderas ! je vais donc te laisser le contrôle ! mais un jour je prendrais le contrôle »
- Quand ?
« Un jour ! »
Et d’un coup, Tanaraq disparu tandis que l'hélico des secours arrivait enfin.