Résumé : Elektra, meilleure amie de Matt Murdock alias Daredevil, est désormais habitée par Oni, le démon japonais qui avait donné ses capacités à son ami. Après avoir subie beaucoup d'épreuves, la jeune femme doit désormais affronter un ennemi redoutable, maudit par un ancien dieu qui le force à faire des horreurs sur les femmes. Malheureusement pour lui, il s'en est prit à une des amies d'Elektra, et celle-ci est sur le sentier de la guerre, comme des alliées de Black Panther, le seigneur de Harlem...Folie.
Marius Natchios n’en revenait pas. Trop d’événement bizarre c’étaient déroulé ces derniers temps. Sa fille qui avait perdu goût à la vie après s’être fait tiré dessus, une de ses amie qui venait de décédé… et maintenant ça.
Il avait entendu sa fille sortir en douce chaque nuit. Il l’avait entendu plusieurs fois parlé à haute voix d’un certain dénommé Oni… il lui arrivé même parfois dans parler durant la journée.
Mais là, ce qu’elle avait fait était grave. Il ne savait plu quoi pensé. Qu’avait-il fait pour que ça se passe comme ça. Il se demanda un moment se qu’en aurait pensé sa femme si elle était toujours là. Il saisit son téléphone, posa le journal et composa un numéro. Une personne encore endormie lui répondit.
- Allo ! Vous avez vus l’heure ?
- Docteur Stone ? c’est monsieur Natchios ! j’ai besoin de votre aide, c’est à propos d’Elektra !
…
Deux nuits plus tôt.
« Je n’ai pas peur de mourir… car je le suis déjà en quelques sortes. Non je n’ai pas peur. La peur est un sentiment très dur à dompter. Elle vous prend aux tripes et ne vous lâches plus. Moi j’en ai fait mon amie et je me sers d’elle autant que je la sers ! Non la mort ne me fait pas peur ! On pourrait croire que mourir au combat est la pire chose qu’il puisse arrivé. Mais non !
La mort nous libère, elle nous permet d’évoluer. Même si l’on en souffre ! La mort ne laisse qu’un sentiment d’inachevé. Mais moi je n’ai pas peur de mourir sur le champ de bataille. Je me fiche de partir avec les honneurs, de voir mon sang répandu sur l’herbe. Non je n’ai pas peur. Car j’ai déjà été morte une fois.
Mais il ne me reste qu’une seule peur. Oh oui, il m’arrives d’avoir peur. J’ai peur d’être blessée, blessée au point de plus pouvoir me défendre. Blessée au point d’être un fardeau pour ceux que j’aime… »
Trois ombres se faufilèrent l’une après l’autre dans la morgue de New York. Chacune était préte à régler le compte du monstre qui travaillé en ces lieux. Leur armes avait était aiguisée et nettoyer. Elles étaient prêtes et n’attendaient qu’à servir.
Walter regarder un dossier. Celui d’une jeune fille qui s’était fait tirer dessus il y a quelques temps… une certaine Elektra Natchios. Quand il reçut un message, qu’il ne prit pas au sérieux. Puis il vit un personnage armé d’une hache qui détruisit un à un ses fichiers. En quelque sorte, ça l’arranger. La police ne pourrait pas faire le lien avec lui. Il regarda sa montre… il était temps. Il de dirigea vers un des frigot où l’on entrepose les cadavre et en sorti un sac.
Les deux jeunes femmes noires s’avancèrent en silence dans les couloirs, Milare n’osait avouer à Dora qu’elle avait peur. Elles étaient Dora et Milare, les servantes de la Panthère Noire. Elles étaient chargées de résoudre les problémes de leur maître. Sa vie passait avant les leurs. Elles ne connaissaient pas la peur et avaient passé leur vie à se battre…
« Peut- être qu’un jour, le maître épousera l’une d’entre elle. »
En pensant ça, Milare resserra sont étreinte contre sa lance et vérifia qu’elle portait toujours son magnum à sa ceinture. Puis elle passa sa main sur son crâne raser pour enlevé les goutte de sueur qui coulé le long de son front
Elles arrivèrent dans la morgue et furent surprise par le froid et l’obscurité qui y régner. Elles jetèrent un coup d’œil et virent une créature recouverte de fourrure qui leur retournait le dos.
- Je vous attendais Mesdemoiselles ! commençons, je vais vous donner un cour d’anatomie !
…
Elektra se faufilait, elle aussi , en silence dans les couloirs de la morgue, qui était étrangement vide. Elle se doutait que c’était un piége. Mais elle devait venger Rosie. A vrai dire, elle avait aussi très hâte de se servir de ses nouvelles armes.
Infinie et Sirène, c’était leurs noms. Elles étaient si semblables et si différentes à la fois. Elle n’était pas encore remise de l’instant où elle les avait prise en mains. A chaque geste, elles émettaient une sorte de son aigu qui rendait la mort très attirante. Mais leurs lames étaient inutilisables. Elle avait beau avoir essayer de les aiguisé, elles étaient toujours aussi rongé par la rouille.
Elle n’était plus très loin de sa destination quand elle entendit un coup de feu. Quelqu’un se mit à hurlait comme une bête puis un bruit atroce se fit entendre. Le corps sans vie d’une femme chauve traversa le mur. Elle était couverte de griffure et une partie de son abdomen avait été arraché.
« Elle aussi, il va falloir la venger ! »
- Je sais Oni !
« Fait bien attention à toi ! »
- Ok, mais dit moi qui es ce type putain !
« Si il est qui je pense, sa ne va pas être facile !… Promet moi de te repaître de sa peur !»
- Il va pisser de trouille !
La jeune fille se retourna prête à en découdre. A travers le trou dans le mur, elle pu voir une autre fille que la peur tenailler, brandissant sans aucune assurance une vulgaire barre de fer. La partie droite de son visage était totalement ravagée par des griffures et son corps porté de nombreuse marque de morsure. Elle se mit soudain à hurler et une table d’autopsie s’écrasa sur sa tête avec violence. Son corps fut parcourut de spasme et elle mourut.
C’est alors qu’un être recouvert d’une fourrure brune s’approcha du corps et se pencha pour lui dévorer le cœur.
Elektra fit alors chanter Sirène. L’être se retourna. Il s’agissait du docteur Langröwsky. Il était vêtu d’une sorte de manteau de fourrure. Son regard ressemblait à celui qu’il avait déjà eut au cimetière. Il était vide de toute humanité. Elle continua de la regarder et vit que son manteau de fourrure n’en était pas un. Il s’agissait des scalpes de ses victimes cousu un à un. Ses mains étaient recouvertes de gant sur lesquels étaient montés des l’armature en fer et qui se terminer, sur chaques doigts, en longues griffes faites avec des lames de scalpel fondues.
- Putain, t’es bien atteint toi !
- Je suis le purificateur ! Sasquatch va te libérer de ta douleur !
- Creves !
Elektra fonça sur lui en brandissant Sirène. Sa fine lame trouva sans problème sa cible et lui ouvrit le bras. Elektra n’en revint pas . Walter recula à cause de la douleur et en profita pour la griffer à l’aisne. Elle bloqua le coup avec Infini, mais la lames rentra dans son manche.
« Elektra, utilise les trous sur les manches, ils servent à bloquer les lames. Celles-ci sont libres et leurs chants sont infinis. »
Elle à peine le temps de s’exécuter, que le fou lui mit un coup de boule. Le coup fut si fort qu’elle alla s’éclater contre le mur. Elle eut à peine le temps de reprendre ses esprit, que Sasquatch lui fonçait déjà dessus en faisant tourner son ordinateur au dessus de sa tête et en rigolant. Elektra regarda plus attentivement sa deuxième dague. Son manche avait deux trous. L’un servait à retenir le chant de la lame. Mais l’autre ?
Elle le boucha est la lame fut éjectée du manche en continuant sa chanson. Simplement retenu par une mini chaîne longue d’un mètre.
La lame fila et alla se planter dans le bras de Sasquatch qui du lâcher son ordi. Elle déboucha le trou et la lame se remit en place.
« En bouchant plus où moins les trou. Les lames iront plus ou moins loin, Utilise leurs mélodies et danse ! Elektra ! Danse avec la mort ! »
Elle se releva Walter ne riait plus. Elle fit alors chantait ses deux lames. Le son d’Infini était plus grave que celui de Sirène. Ce fut à son tour de rire. Elle se mit à tourner sur elle même en bouchant plus ou moins les trou de ses armes. Les lames volaient dans tout les sens. Chaque sons qu’elle émettaient semblé les aiguisé encore un peu plus. Chaque plaie qu’elles ouvraient semblée plus mortelle. Elektra dansa plus vite et le chant s’accéléra.
Sasquatch avait l’impression d’être déchiqueté par un souffle mortelle. La musique l’emmenait peu à peu vers une mort certaine. Son pouvoir guérisseur n’arrivait plus à suivre le rythme. Car il sentait que son âme aussi se taillader. Il se sentit partir. Puis plus rien. Il ouvrit les yeux et vit Elektra qu’il le regarder avec haine.
- C’est pour se que tu as fait as mon amie !
« Non Elektra, ne le laisse pas souffler ! Tues le maintenant ! »
- Mais avant, je veux savoir ce que tu m’as dit au cimetière !
Walter fondit en larmes. Sasquatch était enfin parti. Et il rendait enfin compte de toute l’atrocité qu’il avait fait. Il se rappela de se qu’il avait fait au secouriste qui était venu le chercher après avoir tués sa famille. Il se rappelait le regard de terreur et d’incompréhension de Wanda. Il avait de nouveau peur et froid.
- Réponds ! que m’as-tu dis au cimetière !
Elektra ! On s’en fout ! Butes le!
- Je … je t’ai demandé de m’aider ! s’il te plait… ach…. IL EST TEMPS SASQUATCH !