Comics FX : Gambit.

Gambit # 7
Questionning, partie 1.
Par Roro.

Ce visage bleuit par les coups qu’il a pris, c’est le mien. Les deux gros bolosses que vous voyez, ce sont des flics de la Nouvelle Orléans, tout heureux d’avoir pu arrêter un mutant avec un mobile qui tient la route. Ce sont eux qui m’ont tapé dessus. Pas des artistes, hein ? Vous allez penser que je l’ai bien mérité puisque je suis là, assis sur une chaise en plastique, dans une salle obscure à répondre aux questions de deux policiers qui ne font que leur métier après tout ? Mais, non, ce n’est pas AOUCH ! ! ! Le plus balèze des deux vient de m’en recoller une !

« On t’a posé une question, Lebeau ! Où est-ce que t’as été chopé ça, pourquoi, et pour qui ? »

Ah oui, j’ai oublié de vous dire, je m’appelle Rémy Lebeau, alias Gambit, membre du groupe mutants : les X-men. Bon, il faut vraiment que je lui réponde sinon, il va encore m’en mettre une !

« Et bien, en fait, c’est lorsque je me baladais dans la rue, fouillant les poubelles ,comme un clochard que je suis, que je suis tombé sur ce paquet, comme de par hasard…

BAMF ! ! ! Aïe ! Encore une mendale en pleine tête ! Remarque, ça ne fait que la millième depuis que je suis arrivé dans cet enfer ! En plus, celle-là a fait un bruit différent. Intéressant ! Rémy Lebeau ou la Thése de la baffe en pleine poire ! Je vois déjà le prix Goncourt profilé autour de ce Best-seller !

« Je te conseille de pas te foutre de sa gueule, Lebeau. Mon ami l’agent Willis, comme tu as pu le remarquer est un peu violent. D’ailleurs, il va aller prendre un peu l’air ! dit l’inspecteur Brooks en regardant son co-équipier. Celui-ci obtempère et dégage de la salle puant la sueur. Bon, allez, tu peux tout me raconter, de toutes façons, ça ne peut que t’aider ! Alors ?

- Très bien !

Et c’est là que commence mon récit :
Je terminai de me doucher dans mon appartement de la Nouvelle Orléans. Il était vers les sept heures du matin. Mon téléphone sonna :

« Monsieur Lebeau ? dit une voix rauque au bout du fil.

- Euh oui, c’est pourquoi ? Vous savez qu’à cette heure-ci, les gens do…
- La ferme ! me répondit la voix toujours aussi sensuel, écoutez-moi, Mr Miller veut vous voir.
- Mais, c’est qui « Mr Miller » ?
- Arrétez de poser des questions et faites ce que je vous dis ! Allez dans la rue Nixon ! Vous y trouverez dans une poubelle de couleur rouge une sacoche où se trouvent tous les éléments de votre mission.
- Une mission ? Quelle mission ? Et comment avez-vous eu ce numéro de téléphone ?
- La rue Nixon, une poubelle rouge, n’oubliez pas, surtout !

Et là, il me raccrocha au nez ! Je ne savais pas quoi faire ! En même temps, une partie de moi était intriguée par ce bonhomme à la grosse voix, et d’un autre coté, je me disais que personne n’avait mon numéro de téléphone, même pas mes amis du Massachussetts ! Alors pourquoi lui ? Et qui était ce Mr Miller ? Je me résigna finalement à aller au fameux rendez-vous… une fois habiller, bien sur !

« OK, bon, Willis ? Fais moi une recherche de tous les Mr Miller qui se trimbalent dans cette ville ! m’interrompt l’inspecteur Brooks.

- De quoi, vous ne voulez pas connaître la suite ? lui dis-je, d’un ton ironique.
- Si bien sur ! Alors ?

Et je reprends mon récit :

Je me rendis alors à cette rue Nixon pour y voir un peu plus clair ! La première fois que je fis le tour de la rue, je ne rencontras pas de poubelle rouge. Je me dis alors que ce type m’avait fait une blague et lorsque je tournas le coin de la rue. Une poubelle rouge ! Elle était si magnifique, pleine de crasse et de poubelles bien puantes !

« Vous vous fichez de moi là ou quoi, pourquoi est-ce que vous décrivez cette poubelle à la con ! m’interrompt encore l’inspecteur Brooks.

- J’aimerais ne plus être déranger à l’avenir lorsque je vous raconte quelque chose ! dis-je en me foutant de sa gueule.
- Et bien moi, j’aimerais que t’arrêtes de me raconter des conneries ! (Bingo !) Ca fait deux heures qu’on est dans cette putain de pièce et lorsque tu te décides à parler, tu racontes n’importe quoi ! Je vais rappeler l’agent Willis !(Ouïe ! Pas ça non !)
- A vous de déceler le vrai du faux… sans vous énerver !
- C’est bon ! Continue !

J’ouvris donc la « trappe » et trouva la fameuse sacoche. Je jeta un un coup d’œil derrière moi, histoire de voir si personne ne me guettait et décida finalement de retourner à mon domicile, où je serais en sécurité. Quoique.

Lorsque je revins chez moi, je me précipita pour ouvrir la sacoche. Un dossier bleu y siégeait. Je le pris et me mis à le lire.

Je me présente, je suis Mr Miller, ne cherchez pas à savoir si je suis réel, vous ne me trouverez pas. Je prends contact avec vous, si je veux, quand je veux et où je veux.
Comme vous, je suis un mutant, comme vous je me bats chaque jour pour que mutants et humains cohabitent en paix. Mais à la différence de vous, je n’utilise pas les mêmes méthodes. Les votres étant trop lente et parfois inutiles. Cela fait bien longtemps que j’ai laissé tomber la méthode « soft » comme vous dites les jeunes. Et oui, je suis vieux à présent et ma fin approche. Je veux faire quelque chose de bien pour mon espèce avant de partir. Et c’est pour cela que vous êtes là à lire ce que j’écris. Je vous demande vos services car vous êtes surement le meilleur voleur au monde. Vous pouvez voler n’importe quoi, n’importe où et n’importe comment. De plus, je me vois mal faire des galipettes à mon âge !
Pour plus de renseignements, vous devrez voir le dossier joint avec cette lettre. Mais je veux surtout que vous n’oubliez pas le fait que je suis comme vous… à peu de chose près.

Mr Miller.

Je le cru et me plongea dans le dossier joint. Il contenait
des photos et des explications sur ma mission à venir. Je me mis alors à lire les dires de ce « Mr Miller » :

Votre mission est de récupérer des fichiers secrets gardés dans un batiment Haute Sécurité en Irak. Le contenu de ces fichiers ne vous seront divulgués seulement s’ils parviennent jusqu’à moi.

Voici le plan du Batiment, la clé représente l’endroit où se trouvent les fichiers.

Il y avait bien un plan oui ! Le problème était d’arriver à lire les paramètres de défense très sophistiqués !

Après quelques réflexions, je me résigna à accepter cette mission ! Et oui, tout cela m’intriguait ! Des solutions pour aider les mutants, vous vous rendez compte ? Non bien sûr vous ne faites pas partie de notre espèce ! Et là, mon téléphone sonna, je décrocha :

« Allo ?

- Vous avez finalement accepter notre mission !
- Quoi ? Qui êtes-vous ?
- Vous trouverez un billet d’avion pour Bagdad dans votre boite aux lettres. Arrivé là-bas, vous ferez ce que vous avez à faire… » CLIC !

Et c’est là qu’il me raccrocha au nez. Il commençait sérieusement à me gonfler ces pignoufs ! En plus est-ce que j’allais être payer, moi ? Et c’est là que le téléphone resonne :

« Ne vous inquiétez pas pour l’argent ! Vous serez payé comme il le faudra. » CLIC…

Quelle merde !




Dans le prochain épisode, Gambit se rend en Irak pour récupérer les fichiers !

Je tiens à dire que le choix de l'Irak n'a rien à voir avec la guerre du Golfe ou quoi que ce soit, je l'ai choisi parce que c'est le berceau de l'humanité et que je trouvais intéressant que Gambit voyage dans d'autres pays.

Gambit # 8
Questionning, partie 2.
Par Roro




Je descends de l’avion, la gueule dans le pâté, prêt à remplir un nouveau contrat. Je sais ce que vous vous dites : je suis trop naïf de croire ces parfaits inconnus et leur soit disant solution pour aider les mutants. Ben oui, c’est tout moi ça, le type rêveur qui aime aider son prochain. Non, plus sérieusement, si vous saviez quel problème c’est d’être mutant en ce moment. Le fait d’être un mutant, c’est cool ! On a tous des super pouvoirs. Ok, tout le monde n’est pas beau gosse comme moi (je pense notamment à mon pote Wolvie, quelle gueule il a s’uilà !). Mais c’est tout de même difficile. Le regard des passants qui vous méprisent sans vous connaître, les fanatiques qui vous courent après pour vous démolir le crane, sans parler de ces saletés de sentinelles !

Arrivé dans le hall de l’aéroport, la température devait bien atteindre les quarante degrés à l’ombre ! Une chaleur épouvantable. Je décidais alors de trouver l’hôtel le plus proche. J’en trouvais un. Pas le meilleur, certes… non effectivement, il était tout pourri ! Ma chambre, la numéro quatre, ne me coûta que quelques dollars. Lorsque j’entra, le spectacle qui s’offrit à mes yeux ne fut pas des plus grand. La chambre dans laquelle je devais vivre (ou plutôt SURvivre) était sombre et sentait le renfermé. A cause de la chaleur qui sévissait depuis quelques semaines, ils avaient cloués des planches de bois sur l’encadrement qui devait servir de fenêtre. Ils avaient fait ça comme des sagouins et une lueur simplement s’échappait des planches. La lumière de la chambre était donc légèrement bleutée. Le cadre de lit, en vieux bois, était à moitié pourri. J’hésitais donc à m’allonger dessus. Il n’y avait ni drap, ni couverture, et vu l’hygiène ici, c’était tant mieux ! Je descendis à la laverie en chercher un (c’était l’endroit le plus sur pour trouver un truc propre !). j’étais déjà venu en Irak, et je peux vous dire que tous leurs hotels ne sont pas comme ça !

« On en a rien à s’couer, Lebeau ! Raconte-nous ce qui c’est passer après, c’est tout ! m’interromps l’inspecteur Brooks.

- Ca va, ça va, j’y arrive…

Donc mon séjour ici n’était pas des meilleurs, mais je n’y restai qu’une journée, même pas, qu’une demi journée, alors… je décidais donc de me reposer un peu, sans toutefois fermer l’œil, en effet quelque chose, dans cette mission, me chagrinait. Etait-ce vrai que cela servirait à mon espèce, « l’homo supérior » ? D’abord, en était-il un ce « Mr Miller » ? Et pourtant, l’idée de pouvoir servir aux mutants, aux miens me donnait des ailes. Pas le temps de me poser toutes ces questions, très existentielles qu’il fallait que j’y aille. Ma mission allait commencée. Chiper ces dossiers ne me paraissait pas le plus difficile que j’ai eu à faire. Je m’habillais donc en homme d’affaire du moyen Orient et descendis au bureau où se trouvait les dossiers. Il se trouvait juste en face de mon immeuble. J’ai pu surveiller toutes les entrées et sorties de chaque homme… et surtout de chaque femme ! Enfin bref, j’arrivais dans le hall, quand une douce odeur de lavande me transcenda les narines. Une odeur très subtile et raffinée, pas comme celle de moisissure de mon hôtel moins quatre étoiles ! Je me présenta comme étant un riche homme venu faire affaire avec Mr Khalib. Je n’avais aucune idée de qui pouvait être ce monsieur, simplement je l’avais lu sur le calepin de la jolie standardiste aux yeux verts émeraudes. C’était elle qui sentait si bon.

La jolie jeune femme me demanda d’attendre l’arrivée de ce Mr Khalib. Je me mis alors à tourner en rond, feintant d’attendre impatiemment. Alors que je m’approchais d’une poubelle, je fis tombé plusieurs feuilles de papier chiffonnées chargées d’énergie cinétique. Seulement, je testai là un aspect bien mal maîtrisé de mon pouvoir : la charge à retardement. Je me dirigea alors, en forçant l’allure de ma marche vers les escaliers qui donnaient sur les bureaux du haut. Je croisais en passant l’homme qui devait être ce fameux Mr Khalib. Lorsqu’il passa près de la poubelle je fis exploser les feuilles de papier, ce qui engendra une panique et une fumée incroyable. J’en profitais alors pour monter sans être vu, au deuxième étage, où se trouvaient les fichiers. Je suivis les instructions de « Mr Miller » à la lettre et me retrouva devant une porte… fermée bien entendu ! Je n’eus aucun mal à entrer, un voleur d’une telle classe vous pensez ! Lorsque j’entrais, il n’y avait personne, seulement des ordinateurs et un coffre fort incrusté dans le mur. Je tentais en vain de trouver la combinaison à onze chiffres, quand j’entendis du bruit dans le couloir, je me rendis compte que le temps jouait en ma défaveur ! Je choisis alors la manière forte, la porte du coffre sauta sous l’effet de mes cartes, placées judicieusement aux quatre coins de l’encadrement. Sur le coup, je ne me rendis pas compte que tout ceci était trop facile. Dans le coffre se trouvait une enveloppe en papier kraft dans lequel il y avait des disquettes. Je vérifiais si elles étaient pleines grâce à un lecteur portable. Les trois disquettes étaient pleines. Le problème était que des hommes tentaient d’ouvrir la porte, qu’il n’y avait aucune fenêtre… que j’étais dans la merde ! Les gars finirent par enfoncer la porte et entrèrent dans la salle. Je vis deux militaires avec leurs mitraillettes qu’ils braquaient sur moi. J’aperçus, lors d’un éclair de génie, un extincteur sur le mur derrière eux. Alors que j’avais les bras en l’air (même si je ne comprenais rien à leurs galimatias, j’en avais déduit qu’il fallait que je lève les bras au ciel) je chargeais une carte sortie de ma manche et d’un geste très rapide l’envoyais sur le mur en face. Ils se mettaient en même temps à mitrailler partout. Ce que j’espérais arriva. L’extincteur explosa et la mousse les aveugla. J’en profitais donc pour m’enfuir, tout en laissant quelques coups de pieds partir dans leur ventre. Je tentais de partir vers la droite mais leurs compagnons n’avaient pas mis beaucoup de temps à arriver et je dus repartir du coté gauche, poursuivi par les tirs de mitraillettes. Au fond du couloir, je tournais instinctivement à gauche. Bonne pioche, il y avait une fenêtre au bout. Sans réfléchir, je me mis à courir de toutes mes forces (avec leur robe, c’est pas facile, je vous le dis !) et m’éjecta hors du bâtiment en traversant la fameuse fenêtre pour atterrir ou plutôt amerrir dans le fleuve Le Tigre, vous savez celui qui prend sa source en Turquie et qui traverse l’Irak et Bagdad. La suite, vous la connaissez…

- Raconte la encore, Lebeau.

- Et ben, je suis reparti pour la Nouvelle Orléans, à peine arrivé chez moi, j’ai eu droit à un coup de téléphone de Mr Miller qui me donnait rendez-vous pour lui remettre les disquettes alors qu’il me remettrait l’argent…

- D’ailleurs il est parti où cet argent ?

- J’ai tout claqué dans les putes, la drogue… BAMF !

Ouch ! Il l’a pas appréciée cette blague là…

- Bon, très bien, on va te coffrer pour vol de documents confidentiels

- Mais elles contenaient quoi ces disquettes ?

- Secret d’état, je peux rien te dire. Attends moi ici je reviens.

- Aucuns problèmes ! »

Tu parles « aucuns problèmes », il faut que je trouve un moyen de m’échapper, j’ai pas envie de me retrouver avec les autres dingues de la Cage ! Logan et Hank y ont fait un petit tour et ça m’a pas l’air d’être de la bombe ! Il faut vraiment que je trouve quelque chose, peut être que je m’enfuirais une fois là bas, ou peut-être que…
Vite ! Vite ! Les deux flics se sont faits buter ! Ils étaient sur le trottoir et Bang, ils se sont faits descendre !
Oulah, qu’est-ce qui se passe là dehors ?

« C’est toi Lebeau ? me dit un officier qui vient d’entrer.

- Euh oui pourquoi ?

- Les deux flics chargés de l’enquête sur toi se sont font faits assassiner. Vu qu’ils étaient en train de t’interroger on devrait de garder ici et te faire passer beaucoup de savons. Mais l’ordre vient de très haut. Tu es relâché. Allez dégage d’ici, en VITESSE !!!

- Ok, ok, pas besoin de le répéter, je m’enfuis ! »

Je passe au standard pour qu’il me rende ma montre et mes clés et sors. Le SAMU, les pompiers, tout le monde s’est regroupé autour de deux corps. Il y a aussi ces vautours de journalistes, salopards ! Je me demande qui a bien pu les tuer. Je me dis surtout que ça a sûrement un rapport avec moi. Et cet « ordre qui vient de haut », de qui vient il ? Mr Miller ?…



Qui a tué les deux policiers ? Quel est le rapport avec Gambit ? Qui a donné l'ordre de le laisser partir ? Que comportaient les fichiers ? Réponse (peut-être) dans le prochain épisode !

En me relisant je me dis que je réécrirais les épisodes si j'avais le temps. Il ya certains trucs qui ne me plaisent pas du tout. Et comme je suis très exigent avec moi même je ne me satisfais jamais de ce que je fais ou de ce que j'ai fait.

j'aime un peu moins que Cable.
il manque quelque chose, un peu de "panache" et d'épique...je sais pas, mais ça a pas un fil conducteur et ça manque un peu de quelque chose qui fait que tout est lié et se tient...c'est un peu dommage, parce que l'histoire est pas mal.

Et bien en fait, cette histoire était le prélude à un gros crossover : Genocid X, qui mettait en jeu toutes les séries X.

ah wé ? et ça parlait de quoi ?

En gros : les cds que Gambit avait volés comportaient des fichiers confidentiels sur la réhabilitation des Sentinelles. Il se les fait voler, c'est alors que l'institut est attaqué par les sentinelles, tout comme le reste du monde ensuite, notamment les mégalopoles. (qui renferment beaucoup de mutants) Mais les victimes ne sont pas simplement mutantes et la planète Terre devient rapidement un vaste champ de guerre. A l'issue de ce crossover, plusieurs mutants de secondes zones mourraient, un traitre à l'institut était découvert (d'ailleurs ce traitre avait auparavant tué le prof X dans le second épisode du site consacré aux Xmen, donc au tout début et Scott était devenu le directeur de l'institut), le statut des mutants changeaient, notamment car le gouvernement n'y était pas pour rien, la vie de certains Xmen en étaient changés à jamais... enfin voilà c'était un gros évènement pour nous autres !

ah wé pas mal !

ah oué, quand même ! balèses le projet.


pour en revenir éè l'épisode, j'ai pas grand chose à rajouter. mais tu trouves pas que les: "dans le prochain épisode..." et les question qu vont avec ça fait un peu comme les mangas du Club Dorothée!

Bah nan en fait on mettait ça pour nos lecteurs, c'est juste que j'ai fait copier/coller sans les enlever.

je men doute, mais je trouve que c'est en trop!

pourquoi il a disparu ton site?il avait l'air d'être trés interressant.

En fait mon pote et moi n'avions plus le temps de nous occuper du site. Je m'occupais seul de rallier les scénaristes, sa copine corrigeait les fics et lui de tout mettre en ligne, tout propre nickel chrome chaque mois. On avait un tas de scénaristes (dont Sunder que certains connaissent) qui étaient tous super sympas et très motivés, il y avait une bonne ambiance mais on était surchargé et personne n'avait vraiment le temps de nous donner un coup de main. C'est dommage, j'adorais ce qu'on faisait, partager mes idées avec les autres et tout c'était sympa ! Sans oublier Geoff qui (entre autres parmi les cover artist) nous offrait tous les mois des supers couvertures.
En fait si ça s'est fermé c'est un peu de ma faute. Je ne regrette pas bien sur mais c'est dommage.
Le pote dont je parle, je l'ai perdu de vue pendant un an et on s'est recontacté depuis septembre. Ce n'est qu'un exemple et c'est ça qui le plus dommage, d'avoir perdu tous ces contacts, tous ces fans de comics avec qui je conversais.