fanfics des voisins: un projet de sunder :)

http://jerseydevil6.free.fr/forum/viewtopic.php?id=162
j'envoie l'adresse du forum sur lequel je poste, vu que le texte en lui meme est trop long pour etre autorisé

L'ennuyant c'est qu'il faut s'inscrire pour lire

Ce qui est emmerdant faut avouer.

Tu colles tout ca ici y a pas de longueur maxi dans "les autres fics"...

"La longueur de votre message dépasse la limite autorisée."

Donc, en plusieurs fois, ok

Episode 1, chapitre 1: Putain, y'a des jours ou on ferais mieux de rester couchés...

Se reveiler en sueur chaque nuit, ne pas dormir, tourner, se retourner dans un lit trop chaud et trempé, et pire que tout, faire raler la femme qu'on aime…
Pour Jay, helas, un soucis en passe de virer tradition.
Se lever, remettre les couvertures sur les epaules de l'etre adoré et quand meme se faire envoyer promener, du plus profond d'un sommeil qu'on aimerais partager. Elle rale, certes, mais elle dort, elle…
Et puis cette fois au moins son coup de pied rageur a raté sa cible.
"Va dans le salon, regarde la telé, bois un verre je ne sais pas, mais laisse moi dormir je bosse demain…"
Lui aussi travaille. Et s'il ne dort pas, ce n'est pas par choix.
3 semaines maintenant que c'est comme ca, se coucher fatiguer, faire l'amour, et puis ensuite, rien. La voir sombrer, et soi meme, rester a contempler le plafond dans le noir, en se disant que Morphée va venir.
Lire des livres dans le train, traitant du trouble du sommeil. Tenter les remedes maisons des collegues, a boire, a manger, ou a frotter sur la poitrine…
Prendre un bain pour se detendre, essayer, meme, de dormir dans le salon, sur le canapé ou tant de siestes ont vues le jour…
Et puis rien, finalement rallumer la telé et mater les rediffusions du cable, en attendant Telematin ou Euronews…
Cette nuit là, assis sur le siege des toilettes, Jay a le regard posé sur le papier toilette, en rouleau, "superdoux", qu'il deroule hypnotiquement sur le sol, d'une main reveuse…
Ne pas dormir et ne pas etre fatigué ce n'est pas normal. Patrick, son voisin de bureau, lui parle de microsiestes.
"En fait , tu dors, mais par instants, tu ne te rend pas compte et tu crois avoir veillé completement."
Mais ca ne marche pas comme ca. Jusqu'à il y'a 3 semaine il avait toujours dormi sans problemes, 7 heures par nuits et 10 le week end, comme une horloge, depuis l'adolescence…
L'horloge au mur, justement, qui annonce deja 4h du matin.
Tirant la chasse, revenant au salon et reprenant son zapping, Jay passe d'une chaine a l'autre, Hertziennes, puis cablées.
Rien, de la merde. Rediffs ou teléachat. Parfois meme dessins animés, pour les enfants insomniaques surement. Sur une chaine de cinema non identifiée, le porno se termine. Sur une autre, un film d'horreur commence.
Le temps passe vite quand on s'emmerde dans le silence, et sans s'en rendre compte l'aurore approche deja.
Aussi matinal que lui, le soleil se leve par la fenetre. Une belle journée d'eté, de ce genre qu'il aime a passer dans la climatisation beate de son bureau, et le bonheur simple d'un emploi aux ecritures de comptabilité pour une grande compagnie d'assurance…
Anna, elle, est policier, pense t'il… Une vie dangeureuse mais elle trouve le sommeil chaque soir.
Peut etre faire un peu plus de sport, pense t'il, la main sur la cafetiere..Du jogging, du tennis peut etre.
William Lemergie a l'image annonce le reveil prochain de sa compagne, et dans le silence feutré de leur appartement, la radio se met a hurler.
Premier reflexe d'Anna avant meme de l'embrasser, rallumer le son de la television. Puis ensuite l'étreindre, et le consoler d'un baiser de cette nuit encore sans sommeil, de calme sans repos contre quoi elle ne peux rien faire.
Ce matin, Jay a hate de rejoindre Paris, son metro, sa rue, son batiment et son etage. Malgres l'heure matinale la chaleur est deja etouffante, et presage d'une canicule qu'il espere ne pas experimenter.
Le train train des transports en commun, le silence de sa bulle d'intimité, plongé dans le dernier "Savoir Plus Santé" Sur le quai de la gare suivante, pourtant, quelques chose lui attire l'œil.
Quelques chose de bizarre, d'anormal, de derangeant. Quelques chose que son cerveau a du mal a transformer en information, et tente de retranscrir tant bien que mal, en prenant son temps.
Jerome Matanant releve la tete, et alors que le train redemarre, hurle de terreur, attirant sur son wagon l'attention de la creature, debout dans la foule….
Presque immediatement, quelques chose le percute, et le plaque au sol, le reduisant au silence sous le choc.
Au millieu des passagers medusés, un jeune homme debraillé retourne le comptable paniqué de force, et voyant le train redemarrer, tente de les faire rester a couvert derriere les banquettes. Une main sur la bouche, le hurleur est sommairement maintenu au silence…
Puis, le quai desormais l'homme retourne son attention sur Jay, le foudroyant du regard…
-Non mais ca va pas, mec ? Tu voulais qu'elle nous repere ?
-La… La creature j'ai vu !!! J'ai v…
-…Oui, je sais, s'agaca presquel'inconnu sur son ventre, moi aussi je l'ai vu. Et avant de te donner la moindre explication je crois que tu va devoir nous payer un bon café a tous les deux…
*********

Episode 1, chapitre 2: L'année du Serpent...

Plusieurs minutes avaient eté necessaires a Jay pour reprendre son calme, malgres la presence finalement apaisante de l'Inconnu, et l'action de ses destabilisantes petites gifles occasionnelles, destinées a le maintenir dans le calme.
Sur son conseil, ils attendirent un peu dans le wagon que la foule des voyageurs se disperse. Puis, sans un mot, ils etaient allés s'asseoir en salle d'un des troquets de la gare de l'Est, loin de la plebe…
Il s'appelais Lionel. Jay, quand a lui, eu un peu plus de mal a begayer son nom, mais y parvint finalement.
Tremblant encore comme une feuille, le comptable ne su par ou commencer. Son premier effort fut de s'efforcer a garder une voix calme, ce qui ne fut pas le plus simple…
-Qu… qu'est ce que c'etait ?
Plus aigue qu'il ne l'avait voulu, Jay fut neanmoins satisfait de l'intonation de sa voix. A moins de le regarder de pres, il serait peut etre dur de voir pour un etranger a leur duo l'etat de nervosité paranoiaque dans lequel il se trouvait.
-Je les appellent les Dragonautes, commenca Lionel, sur un ton desinvolte, mais ca ne tiens qu'a moi. T'as vu ce truc qui sort de leurs narines ? C'est comme de la fumée mais c'est bleu, c'est dingue que personne n'arrive a le vo…
-Non, je te demande, QU'EST CE QUE C'ETAIT QUE CE MONSTRE ???
Cette fois, Jay avait eté incapable de garder son calme. Sous la table, Lionel lui balanca un tres vicieux coup de genoux, qui lui fit definitivement cesser tout tremblement.
Et accesoirement, toute envie de marcher pour au moins 5mn.
- Je sais ce que tu demande, man, murmura le jeune homme en se penchant vers lui, sans aucun humour dans la voix. Mais j'ai pas de reponse exacte, je les vois comme toi, c'est tout. Et ces saloperies ont l'air bien assez vicieuses pour que je cherche pas a leur faire remarquer que je sais a quoi elles ressemblent…Alors reste calme, et fait toi discret s'il te plait…
-Tu ne sais pas ce que c'est ? C'est peut etre une hallucination alors, je dors mal en ce moment, ca explique peut etre…
-Non, sourit le jeune homme, c'est pas aussi simple. Si c'etait une hallucination on verrait pas les memes mecs s'averer etre des monstres couverts d'ecailles…
Le visage de la creatures, Dieu du ciel… Pendant un court instant, Jay, en proie au retour de flamme memoriel, revois la creature dans les moindres details…
Des ecailles, grosses comme le doigt, l'aspect terrifiant de lezards a apparence humaines… Des yeux de serpents, sous des arcades sourcillieres lourdes et proeminentes, aux excroissances osseuses courtes et effilées… Sur le bas du visage, au niveau des joues, ce qu'il identifierait comme des cretes de peau tendues, presques delicates, au dessus d'un cou fin et long, mobile, plus que celui de tout etre humain…
Et des dents, trop nombreuses et trop longues…en dessous de ces fentes, se voulant un nez, dont s'echappait en effet une curieuse respiration bleue…
Sa premieres pensée consciente alla vers le film "Cœur de Dragon", dont Anna etait tellement amoureuse, le visage du dragon, une teinte de corps differente, terreuse, et non carmin.
Sauf que ce dragon là aurait eté reinventé par un esprit malade, quelques chose du velociraptor et du serpent ajouté a son design initial…V, peut etre, quelques chose que la nature ne pouvait avoir engendré…
Revenu au calme, tentant tant bien que mal de reinitialiser son esprit analytique, Jay respira profondement, et espera arriver a en savoir plus.
-Je peux te poser quelques questions, Lionel ?
-Va y, je sais par ou tu passe, mec. Prend ton temps, de toute facon je pense que tu t'en fout d'etre en retard aujourd'hui au travail, hein ?
Un court instant, les deux hommes se devisagent, et sourient de l'etrange de la situation. Jay, en confiance faute d'etre detendu, s'etonne lui meme du calme de sa voix..
-Donc, ce n'est pas une hallucination…
-Non.
-Tu es sure ?
-J'en ai parlé a des medecins ces derniers mois, les hallucinations collectives aussi precises dans les details, ca n'existe pas.
- C'etait humain ? Je veux dire, on a vu sa vraie forme ou on le vois juste differemment des autres ? une sorte de "vision de l'ame" ?
-Tu joue aux jeux de roles ?
-Non, pourquoi ?
- J'ai eu l'impression, tu parles comme quelqu'un que je connais. J'ai serré la main d'un de ces trucs une fois. Non seulement on les vois sous leur vraie forme, mais tous les sens gagnent aux changes, y'a plus d'illusion…On croirait toucher du cuir glacé, et ils puent comme avant un orage, l'ozone a plein nez.
Un instant de silence pendant lequel les organes de Jay se glacent, plus que de raison si tout avait eté normal dans le meilleur des mondes.
-Tu as dis "ces" saloperies ? Tu veux dire qu'il y'en as plusieurs ?
-Sur Gare de l'Est, j'en ai reperé 7 ou 8 le matin. Peut etre le double dans Paris meme. Peut etre une trentaine dans mon espace de vie, dont une bonne dizaine dans l'hopital meme ou je travaille.
-Tu travaille en hopital ?
-Je suis brancardier. Et toi ?
-Employé comptable.
-Passionnant…
-Tu fait de l'humour ?
-Un peu, mais ca detend la situation, admit en souriant Lionel, tout en rajoutant un enieme sucre a son café.
-Je reconnais que ma vie etait calme avant que je commence a voir des cobras humains sur les quais de gare, ironisa Jay, pour la premiere fois prêt a rire de tout ca.
-Plains toi, j'ai vu mon premier dragonaute en plein metro, je me suis ecroulé au sol en compagnie de 2 collegues qui ont crus que je faisait un malaise…Le lendemain j'en croisait deux en pleine rue, et pour feter ca j'ai vomi dans une poubelle…
-Et qu'est ce que tu as fait ?
-Comme je t'ai dis j'ai consulté un psycholgue, j'ai vu un medecin, et il y'a 6 mois j'ai vu une femme hurler de terreur comme toi tu l'as fait tout a l'heure en plein restaurant, a l'entrée d'un client. Quand deux personnes voient des lezards geants se promener en pulls d el'equipe de France , c'est plus un soucis psychologique, c'est un probleme de societé.
-Tu dis qu'il y'a d'autres gens que nous qui les voient ?
Cette fois, Lionel garde le silence, terminant lentement son propre café.
-Finis ta tasse, je t'accompagne a ton boulot.
-Hors de question, je ne vais pas travailler comme ca….Pas avec ces…ces trucs dans la nature…
-Mais si tu va travailler…et tu va meme devoir peut etre le faire avec eux, mon pote…
********

Episode 1, chapitre 3: Des ascenseurs et des hommes.

Pas un instant Lionel n'avais laché l'epaule de Jay, serrant a l'en faire mal a l'approche de toute creature Dragonaute…
Une, puis deux, puis trois… Du bus jusqu'à l'entrée de son immeuble de bureaux, ils en avaient croisés en tout et pour tout 6, vaquants a leurs occupatiosn dans l'indifference la plus totale de la masse primate humaine. Le plus gros choc de Jay vint de ce Dragonaute femelle, a l'entrée d'un magasin, enceinte et a quelques semaines d'accoucher, semblait t'il. Lorsqu'une cliente souriante lui caressa le ventre, toute a leur discussion pouponnière, il ne reprima son hurlement que grace a un leger cou de coude de son nouvel ami dans les cotes…
Quelques soit l'avenir de leur relation, a tout deux, il faudrait revoir a la baisse le calendrier des sevices corporels, parvint a penser Jay malgré son souffle coupé…
-C'est bon, on s'arrete 5 minutes, rala t'il, en etat de choc.
Sans un mot, tous deux se dirigerent dans un jardin d'enfants, ou ils prirent place sur un banc isolé.
Plié en deux, respirant difficilement, Jay tentait de reprendre son calme.
-Je crois que je vais vomir…
-Non…
-Je te jure que si, je vais vomir…
-Tu es en etat de choc, c'est tout. T'as vraiment besoin d'aller au boulot aujourd'hui ?
-Je croyais que tu voulais que j'y aille…
-Je vais monter avec toi, et tu va prendre des dossiers et demander ta journée. S'il le faut tu ira voir un medecin, tu n'aura aucun mal a passer pour malade dan ston etat.
-Et pourquoi je devrais monter ?
-Si demain tu dois y retourner comme si de rien n'etait, comme tu le feras, autant savoir si tu as des Dragonautes dans tes frequentations. Que tu ne te mette pas a hurler en voyant ton chef de service s'asseoir en face de toi, ou ton collegue venir te demander des agrafes…
-Je ne vais pas y arriver… Je pourrais jamais en voir un d'aussi pres.
-Je t'ai dit que tou pourrais.
Cette fois, Lionel redressa son nouvel ami sans aucun menagement. Le trainant presque jusqu'à la sortie de l'espace vert, il s'assura de le voir debout sur ses jambes avant de toucher le bitume…
-Jay, tu sera d'ici peu etonné de tout ce dont on peut etre capable quand il le faut, je te jure…
-Je vais vomir…
Il ne bluffa pas, et Lionel du admettre la realité des faits en le voyant s'ecrouler dans un parterre de fleurs.
A genoux dans un buisson, Jay vidait ses tripes a s'en faire mal, rendant a la nature sucs gastriques et reliquats de nourritures dont il n'avait meme pas souvenir…
Quand il eu fini, il se redressa, livide comme un mort.
-Tu vas mieux ?
Jay acquiesça silencieusement.
-Cette fois on peux y aller ?
Meme reponse. Pas qu'il soit prêt, mais Lionel ne semblait pas vouloir laisser Jay s'en sortir aussi facilement.
Passer les portes fut une torture, et appeler l'ascenseur une mutilation.
Une sonnerie mis fin a l'interminable voyage vers le 5eme. Lorsque les portes s'ouvrirent, Jay bredouilla une priere silencieuse…
Levant la tete sur l'etage panoramique, le comptable passa d'un visage a l'autre, tous desesperement humains.
-Tu travaille avec d'autres gens que ceux qui se trouvent ici ?
-Non, sembla soulagé Jay, tout le monde est là.
De derriere sa cloison, Patrick se releva, et souriant, lui fit signe.
Dieu merci, meme lui etait humain…
*****
Tout avait eté comme sur des roulettes jusqu'à leur retour dans l'ascenseur. Jay manqua mourir a l'ouverture des portes, et sentit le malaise revenir lorsque Lionel, imperturbable, le forca a entrer dans la cabine au coté de ce Dragonaute femelle, souriant et poli.
Inquiete de le voir trembler, le monstre demanda d'une voix trop humaine s'il se sentait bien.
Ce qui lui donna la force de sourire, et de lui repondre "intoxication alimentaire", il ne le saurait jamais.
Le monstre sembla changer d'expression, et descendit au 2eme etage, lui souhaitant d'aller mieux.
Soutenu par Lionel, Jay reussit a rejoindre sans encombre la rue. Il ne pu aller plus loin, et de nouveau, tomba a genoux pour vomir, en vain.
-Tu as eté parfait, Jay…
-Tu parles, gemit le comptable, se redressant avec peine. J'ai failli lui vomir dessus…
-Tu ne l'as pas fait. C'est deja mieux que rien.
-Jamais je pourrais m'babituer a ca… C'etait Stephanie, du service juridique…Je l'ai reconnue, je la connais…
-Une amie ?
-Non, mais j'ai travaillé avec son service il y'a quelques mois. Bordel, mais qu'est ce que c'est que ces monstres ???
-Je n'en sais pas plus que toi, mec…
-Des extra terrestres, peut etre ?
-Aucune idée.
-Ils sont mechants ? C'est une conspiration ?
-En tout cas s'ils font tant d'efforts pour se cacher, il y'a forcement une raison…
-finalement, tu n'en sais pas beaucoup plus que moi, hein ?
-non. Et j'ai pas envie d'en savoir plus que necessaire.
-Alors pourquoi tu es là ?
Surpris par la question, Lionel laissa quelques secondes passer, ne semblant par ou commencer.
-Parce que j'ai manqué devenir fou, la premiere fois, et pire encore la seconde fois ou j'ai vu un Dragonaute. Parce que j'ai vu des gens comme toi et moi se detruire aux medicaments pour revivre de facon normale…Parce que maintenant, si tu prend un peu sur toi, mec, tu aura une chance de pouvoir continuer a vivre normalement sans te faire remarquer…
-Normalement ? Parce que tu crois que je vais pouvoir faire comme si de rien n'etait avec ces choses dans le champ de vision ?
-Ca sera ca ou te flinguer, sembla ironiser Lionel avec un sourire triste.
-Pas question.
De nouveau debout, Jay tremblait encore, mais s'efforcait de donner le change. Lionel ne fut pas dupe, et avant qu'il ne s'ecroule de nouveau, l'attrapa par le bras, et l'entraina vers un banc.
-Pas question, continua le comptable, d'une voix qu'il voulais determinée. Pas question de vivre sans reponses. Je veux savoir ce que sont ces creatures…
Cette fois, le visage de Lionel afficha une expression jusqu'alors inconnue, quelques chose cousin de la tristesse, comme s'il s'etait toujours douté de cette reponse…
-Crois moi mec, tu vivra mieux en en sachant le moins possible… je sais pas grands choses, mais ca au moins tu peux me croire, ceux qui cherchent a trop se fare remarquer des Dragonautes ont la desagreable manie de disparaître sans donner de nouvelles…
*******

Fin de l'episode 1.

Je l'ai déjà dis mais c'est très bon.

si l'avis du chef des lieux n'avait pas eté positif je me serait pas permis de poster

Zoup j'ai lu

Le début est un tantinet long... On entre vraiment dans l'action qu'à partir de la 2eme partie...
J'ai néanmoins beaucoup aimé. Tu traduis bien la panique de Jay et apparement ils sont vraiment pas tres agréables à regarder

Ze suite?

Et bé...

me demande si y a que les humains qui les vois vraiment...

*Imagine le pauvre hamster qui se retrouve face à ce genre de tronche de prédateur..*


La suite !